grand concours de poèmes

ça vous dit?

on peut en mettre plusieurs de la taille qu'on veut et dans deux semaines ont vote pour le gagnant.

Je commence.


Mes missiles interplanétaires
foncent vers leur cible dans l'ionosphère
et s'abattent impitoyablement
sur les méchants, les mécréants.


Ils sont plus grands que des maisons,
et vont plus vite que le son,
ils traversent les galaxies
pour aller frapper mes ennemis.


Mais celui qui commande le tir
N'ordonne de les faire partir
que contre les sacripants
qui ont comme des déments
attaqué sans rentabilité
mes planètes ou mes alliés.


Ces gens là faut les raser
les détruire, les laminer
pour leur faire passer l'envie
de s'en prendre à mes amis.


Aldian

Premier jet...

Mes étoiles de la mort
Ne sont pas là pour vous faire du tort
Mais pour détruire les buveurs d’eau
Qui jouent comme des fachos

Pour les punir de leur insultes
Je leur catapultes
Quelques RIPs
Que personne n’évite

Mais si par malheur
Il tente une interception
Par une machiavélique intention
Je le détruirai sans peur

L’âme de nos ennemis
Périra sous le feu
Et sera damné dans les cieux
A jamais sans répit

Bon..;pour faire comme tout le monde

Moi j'suis la momie
ça m'empeche pas d'avoir des amis
Les pacifics en font partie

Bien sur j'suis un revenant
Mais si vous saviez comme on entend
les pleurs des enfants

Tout ça pour vous dire
qu'au lieu de faire souffrir
le meilleur c'est quand meme le rire

Au moins les pacifics
on bien compris
que seul doit etre permis
l amitie qui les unis

sympa DJ
diet j'adore la premiere strophe
chris elle est trés belle!

Un jour tu est parti
Sur de ne point avoir d'ennemis
mais âme mal veillante que tu est
Qui laisse seul tes trouppes a quai

Ce jour là tu m'a maudit
Mais ce fut une lecon
Et si tu n'est pas trop con
Tu te fera bientot hardi

premier un peu pourrav' je reconnais je continu demain a++

@DJ qui sait...

EDIT

Citation :

La raison a ses limites, que nous connaissons
c'est pour cela que le rêve existe, tel une révélation
Tel l'aurore, le rêve et la réalité peuvent se chevaucher
Le renouveau de l'espoir, qu'il nous faut alors choyer

La rencontre de deux être différent et pourtant si semblable
Que tout différentie, mais que tout réunis dans cette fable
Mythe de l'amour, rêve de réalité, à l'unisson
Les sentiments l'emportent dans ce tourbillon

C'est ainsi que nos mains se sont touché
Et que mon coeur pour elle s'est embrasé
Ce jour parait pourtant loin dans ma mémoire
Assombri par le quotidien, cette guerre sans gloire

Infiniment, nous aurions pu ainsi longuement continuer
Les chaînes du quotidien, l'amour auraient fini par étrangler
Ton coeur ardent pourtant, de liberté il se réjouisse
Alors je rends cette liberté à l'amour, afin qu'il s'épanouisse

En espérant qu'au réveil, tel deux étoiles, nous nous trouverons.

Citation :

Avec les yeux injectés de sang, je t'observe dormir
La chaleur que je sens près de moi se fane lentement
M'entendra t-elle, si je l'appelais par son nom ?
Me retiendra t-elle, si elle savait ma honte ?

Tandis que les années passent
Je fais la course contre la montre avec toi
Mais si tu meurs tout de suite
Je sais que j'en mourrais

Il y a toujours quelque chose de différent qui tourne mal
Le chemin que j'emprunte est la mauvaise direction
Putain, il y a toujours quelque chose qui s'accroche
Quelqu'un peut-il m'aider à améliorer les choses ?

Tu me rappelles les moments
Quand je savais qui j'étais
Mais la seconde main nous rattrapera
Comme elle l'a toujours fait

Les instants sont morts, je n'entends aucun cri
Les visions abandonnées à l'intérieur de moi se fanent lentement
Tes larmes ne tombent pas, elles s'écrasent sur moi
Sa conscience appelle le coupable à venir

Nous ferons les mêmes erreurs
Je tomberai pour toi
J'espère que tu en as besoin maintenant
Parce que je sais que j'en ai toujours besoin

Devrais-je me mordre la langue?
Jusqu'à ce que le sang trempe ma chemise
Nous ne sombrerons jamais
Dis-moi pourquoi ça fait si mal
Mes mains sont autour de ta gorge
Et je crois que je te hais
Mais nous nous dirons toujours rappelle-toi
Comme nous l'avons toujours fait

Cette pièce détruite que j'ai vue avant
Les os brisés, ils ne se guérissent plus, plus maintenant
Avec mon dernier souffle, j'étouffe
Ça ne se terminera jamais
Mon monde est fini, une nouvelle fois

Jusqu'au jour où je mourrai
Je verserai le sang de mon coeur pour toi

Tu me tiens dans tes mains
Tu ne me laisseras pas tomber
Tu voles mon coeur
Quand tu emportes mon souffle
Veux-tu m'emmener, m'emmener plus loin maintenant

Donc ramène moi vers des jours meilleurs
Ramène moi, lorsque nous n'étions pas encore effrayé
La vraie vie dans les films semblait être la même pour moi et je n'ai jamais demandé pourquoi
Je connais la difference maintenant, entre la réalité et la ficiton
Mais j'en suis arrivé à la conclusion que j'ai grandi avec des remords en seulement 17 courtes années

Tu es la force
Qui me fait avancer
Tu es l'espoir
Qui continue à me faire croire
Pourrais-tu me dire
Comment est-ce que ça pourrait être,mieux que cela?
Car tu es tout ce que je veux
Tu es tout ce dont j'ai besoin

Encore un autre :

Le corp sur terre,
La tête dans les étoiles,
J'ai besoin d'une grande toile,

Pour pouvoir peindre la nature,
Comme je veux à l'état pur,
et m'exiler dans mes pensées.

désolée de l'attente ...
Voici mon petit poème sans prétention ...

Petite dédicasse à mon tonio adoré ... reste beau même après ce drame ...

Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne,

Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel,
Personne n'est assez riche pour s'en passer,

Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter,
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,

Il est le signe sensible de l'amitié,
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,

Donne du courage au plus découragé
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler,

Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire,

soyez généreux donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.